dimanche 14 janvier 2018

RYTHME ET SYNTHÈSE (2e année) N° 18 - MAI 1921

RYTHME ET SYNTHÈSE
2e année - N° 18 (Mai 1921)
[Date de publication : mai 1921 - Couverture : Imprimée en noir sur papier vert, avec encadrement (Année, Numéro, Date, Titre, Sous-Titre et Périodicité, Prix, Adresse) - 2e de couverture : Titre, Périodicité ("Revue paraissant une fois par mois excepté en Août et Septembre"), Adresse, Prix du numéro et abonnement, Directeurs, Mention ("MM. les Directeurs reçoivent les Samedis, après 20 h 30"), Sommaire - 3e de couverture : Dépôts ("RYTHME ET SYNTHÈSE est en vente : / aux "Amis des Livres" (Mlle Adrienne Monnier), 7, Rue de l'Odéon ; et chez Bénard, aux galeries de l'Odéon ; / Crès, 108, Boulevard St Germain." ; / Picart, 59, Boulevard St-Michel ; / Rey, 8, Boulevard des Italiens"), Mention ("Prière d'adresser les mandats ou chèques postaux à Mme Paul Jamati, 15bis, rue Amélie, Paris VIIe.") - 4e de couverture : muette Haut de Page [169] : En-Tête (Année, Date, Numéro, Titre, Périodicité) - Bas de Page 192 : Gérant, Imprimeur - Pagination : 24 pages]
Sommaire
Sibe Milicic : La nuit étoilée (fragments d'un poème symphonique, traduits du serbe), poème [en note : "Ces poèmes sont extraits du Livre de la Joie, paru en 1920 à Belgrade. Leur auteur, M. Sibe Milicic, est le promoteur en Serbie de la Poésie Cosmique."] (p. [169]-173)
Théodore Mavroïdi Mustoxidi : Deux problèmes de l'Esthétique (suite et fin), étude [en note : "Rythme et Synthèse, n° 17, Avril 1921, page 145." ; en note de la dernière page : "ERRATUM. - N° 17 de Rythme et Synthèse, page 152, ligne 37 ; au lieu de : puissance esthétique, lire : jouissance esthétique."] (p. [174]-182)
Émile Cottinet : Les Voyants : Arthur Rimbaud (d'après son œuvre et le portrait de Fantin-Latour) [en épigraphe, citation des Illuminations de Rimbaud : "Ce ne peut être que la fin du Monde, en avançant..."] (p. [183]) ; Dostoïewsky (p. 184), sonnets (p. [183]-184)
CHRONIQUES
Alexis de Holstein, Paul Jamati : Poèmes [Une antienne de la Terre, par Francis Thompson, poème traduit de l'anglais par Auguste Morel, Paris, 1920, Collection des Amis des Livres - (p. [185]-186) - signé Alexis de Holstein ; Tentations, par André Spire, Paris, 1920, Camille Bloch, éditeur - (p. 186-187) - signé Paul Jamati], comptes rendus (p. [185]-187)
Georges Jamati : Théâtre [Comédie Montaigne. - Le Simoun, 13 tableaux de M. H. R. Lenormand], compte rendu (p. 187-191)
Georges Jamati : Arts [Les Expositions. - Maximilien Luce (Galerie L. Dru) ; Mlle Yvonne Sjoestedt (Galerie Sauvage) ; Memento. - Galerie du Luxembourg. - Exposition des œuvres de M. Phocas Fokkens ; Galerie Bernheim-Jeune et Cie. - Exposition de M. Eustache Stoënesco ; Galerie Bourgeat et Cie. - Exposition de M. Charley Toorop], comptes rendus (p. 191-192)
Georges Jamati : Notes [La Nouvelle Revue Française n'est pas contente. M. Jacques Rivière, dans le numéro du 1er avril 1921, accuse M. Eugène Montfort de ne pas savoir lire le français. Il paraît que M. Roger Allard ne nous a jamais couverts de fleurs. Nous nous en doutions un peu, ou plutôt nous pensions qu'il s'agissait de quelques fleurs artificielles masquant une pelote d'épingles. / Une remarque cependant s'impose : nous croyons nous souvenir que, pour formuler une supposition qui ne s'est pas réalisée, on emploie le conditionnel et le plus-que-parfait de l'indicatif, que l'on écrit, par exemple, non pas : "si ces quelques mots ont suffi à les (les rédacteurs de Rythme et Synthèse) acheter, nous pouvons nous vanter de les avoir eus à bon marché", mais : "si ces quelques mots avaient suffi à les acheter, nous pourrions nous vanter de les avoir eus à bon marché." / M. Jacques Rivière, quoiqu'il ait la prétention d'enseigner le français à M. Montfort, a-t-il oublié les principes de la grammaire dans la fréquentation des dadaïstes ? Car, n'est-ce pas ? il est impossible de supposer qu'on ait voulu nous éprouver par des phrases à double entente. La Nouvelle Revue Française n'est pas comme le bellâtre fanfaron qui, lorsqu'il se voit éconduit, se venge en affectant d'être importuné par les avances de celle qui l'a dédaigné. Quoi qu'il en soit, passons l'éponge et abandonnons M. Jacques Rivière aux griffes de MM. Louis Aragon et André Breton.], note (p. 192)

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